GHOST GALERIE

Spécialisés de la scène new-yorkaise des années 80, mettant en lumière l’héritage du Post-graffiti et de la scène de l’east village sur les pratiques actuelles, nous établissons un dialogue vivant entre les pionniers de cette époque emblématique et les artistes contemporains, tout en proposant des dialogues avec d’autres mouvements. Chaque exposition est conçue pour être un espace dynamique et interactif, offrant aux collectionneurs, curateurs et amateurs d’art une expérience unique, enrichissante et avant-gardiste. Découvrez des œuvres audacieuses qui ont redéfini les contours de l’art contemporain, en résonance avec les grandes transformations artistiques et sociales de leur temps.

Marseille
18 novembre > Janvier 2025

PARADIGM AND DISRUPTION : THE CREATIVE PULSE OF THE 80’S

Ghost galerie, fidèle à son positionnement, présente une nouvelle étape dans son exploration des dynamiques artistiques révolutionnaires avec « Paradigm and Disruption: The Creative Pulse of the 80’s ». À travers ce group show, l’exposition met en lumière la diversité des pratiques et des voix qui ont redéfini l’art contemporain au cœur du New York des années 80. Dans un New York contrasté, où le béton froid côtoie des explosions de couleurs et d’idées, des jeunes artistes tracent les lignes avant-gardistes d’un renouveau artistique. Leur fougue insatiable, palpable à travers chaque œuvre, défie les conventions et reflète un monde en pleine mutation. Cette exposition n’est pas seulement un voyage dans le passé, mais une immersion dans l’énergie brute et disruptive d’une jeunesse visionnaire, portée par la quête d’un art sans entraves. Ce « collectif d’artistes », issus de disciplines variées – peinture, sculpture, installation et performance – transcende les
barrières esthétiques et culturelles pour offrir une vision polyphonique de cette période bouillonnante. Entre l’influence du graffiti et de la culture de rue, la montée de l’activisme artistique face aux crises sociopolitiques, et l’émergence de nouvelles technologies, chaque œuvre témoigne d’un esprit de rébellion et d’une quête incessante de renouveau. À travers ce group show, Ghost galerie continue de cultiver un espace où la mémoire et l’innovation dialoguent, célébrant l’impact intemporel de ces mouvements disruptifs sur les pratiques contemporaines. Une invitation à revivre la fièvre électrique de ces années tout en interrogeant son écho dans les préoccupations artistiques actuelles.
Marseille
18 novembre > Janvier 2025

PARADIGM AND DISRUPTION : THE CREATIVE PULSE OF THE 80’S

Ghost galerie, fidèle à son positionnement, présente une nouvelle étape dans son exploration des dynamiques artistiques révolutionnaires avec « Paradigm and Disruption: The Creative Pulse of the 80’s ». À travers ce group show, l’exposition met en lumière la diversité des pratiques et des voix qui ont redéfini l’art contemporain au cœur du New York des années 80. Dans un New York contrasté, où le béton froid côtoie des explosions de couleurs et d’idées, des jeunes artistes tracent les lignes avant-gardistes d’un renouveau artistique. Leur fougue insatiable, palpable à travers chaque œuvre, défie les conventions et reflète un monde en pleine mutation. Cette exposition n’est pas seulement un voyage dans le passé, mais une immersion dans l’énergie brute et disruptive d’une jeunesse visionnaire, portée par la quête d’un art sans entraves. Ce « collectif d’artistes », issus de disciplines variées – peinture, sculpture, installation et performance – transcende les
barrières esthétiques et culturelles pour offrir une vision polyphonique de cette période bouillonnante. Entre l’influence du graffiti et de la culture de rue, la montée de l’activisme artistique face aux crises sociopolitiques, et l’émergence de nouvelles technologies, chaque œuvre témoigne d’un esprit de rébellion et d’une quête incessante de renouveau. À travers ce group show, Ghost galerie continue de cultiver un espace où la mémoire et l’innovation dialoguent, célébrant l’impact intemporel de ces mouvements disruptifs sur les pratiques contemporaines. Une invitation à revivre la fièvre électrique de ces années tout en interrogeant son écho dans les préoccupations artistiques actuelles.
Marseille
Juillet > Août 2021

RETROSPECTIVE KOOL KOOR : ROOKS & ROBOTS

Exposition rétrospective Kool Koor > « ROOKS & ROBOTS » (en hommage à son nom d’artiste, au lieu de création et à ses souvenirs). Cette exposition est un retour aux origines de Kool Koor ainsi qu’à l’univers de ses tous premiers travaux; une époque très galactique. Villes futuristes peuplées de robots, vaisseaux spatiaux, voies lactées et paysages abstraits aux couleurs eighties… Par ce langage, Kool Koor peint son interprétation du temps et de l’univers en y projetant des images multidimensionnelles. Chacune des œuvres présentées est une immersion dans une galaxie lointaine où les plus petits détails ont leur importance et où des éléments clés se cachent dans les détails, laissant ainsi la place à l’interprétation et à l’imaginaire du spectateur. « Toutes ces œuvres sont comme des rêves. Chacun peut y voyager, plonger, créer ses propres histoires par un jeu précis et minutieux de lignes, d’architecture urbaine et de mondes imaginaires.» Kool Koor .
Sous le pseudonyme de Kool Koor , Charles Hargrove est un artiste né à New-York dans le «  South Bronx » (Mitchel Houses) et basé à Bruxelles. Ex-compagnon d’armes de Jean-Michel Basquiat, Keith Haring, il est considéré comme l’un des artistes les plus influents et les plus importants de la première scène urbaine new-yorkaise (aux côtés de Rammellzee, A-One, Dondi White, Futura…). En 1978, il est admis à la High School of Art and Design de New-York, dont il sort diplômé en 1982. Passé des murs aux toiles, il expose dès l’âge de 16 ans à la « Fashion Moda », la première galerie New-Yorkaise qui s’intéressera aux artistes du Bronx. De là, il franchit l’East Village pour intégrer la scène artistique de Soho avant de venir s’installer en Europe. Son style unique est immédiatement reconnaissable. Précoce, Charles Hargrove était déjà fou de dessin avant de découvrir en 1976 qu’il pouvait aussi s’exprimer sur les murs. Premier déclic, une voisine inscrivant son prénom sur une palissade du quartier. C’était donc possible ! Déchiffrer tout ce qu’il voyait dans l’espace urbain est alors devenu une obsession. Et bien sûr y marquer son passage, toujours plus loin dans New-York, avec ses tags et ensuite ses fresques, de plus en plus virtuoses. De cette période, Kool Koor a gardé l’amour du message. Il crée son propre langage : villes futuristes, robots, vaisseaux spatiaux évoluant vers plus d’abstraction et de subtiles émotions esthétiques. « Mon premier nom d’artiste était The Arbitrator Koor. Je me suis appelé The Arbitrator Koor parce que j’avais l’impression d’être un arbitre dans mon travail artistique, l’arbitre entre une réalité que nous connaissons et une réalité qui est autre. Kool est apparu plus tard, lorsque j’ai commencé à enregistrer de la musique. Quand j’étais jeune adulte, j’étais attiré par le jeu d’échecs – I like the tower or the rook – Je voulais utiliser « Rook » comme nom d’artiste mais je l’ai abandonné. J’ai pris le K et le R et je les ai retournés. C’est comme ça que j’ai eu mon nom d’artiste. Il reflète ma façon de penser et personnifie ma créativité : jeu de la ligne, architecture et mondes imaginaires, Si vous regardez la vie ou les choses de l’autre côté, vous pouvez souvent les comprendre. C’est ainsi qu’est né Koor ». « New-York à la fin des années septante et au début des années quatre-vingt était un endroit très spécial. On y trouvait beaucoup de gens extrêmement créatifs qui se rassemblaient, tentaient de trouver leur identité et de la faire connaître. Et les galeries, en ce temps-là, tendaient les bras à ce genre d’énergie. Si tu avais du talent, New-York était la ville où il y avait quelque part une plateforme à disposition pour t’exprimer. À l’époque, Fashion Moda dans le sud du Bronx était ce genre d’endroit, et j’étais un gamin suffisamment chanceux pour avoir le courage d’un jour franchir la porte. Les graffeurs incarnaient cette nouvelle chose qui était en train de se produire et tout le monde voulait être impliqué … on sortait tous ensemble à des dîners, des clubs, des soirées, on créait, on faisait des expositions ensemble… on s’amusait. Ce n’est qu’en regardant en arrière que tu comprends l’aspect historique de la chose ». Kool Koor Aujourd’hui, son travail est exposé dans des galeries et des musées à travers le monde (The Metropolitan (NYC), Chicago Renaissance Society, The Butler Museum, The Groninger Museum… .
Marseille
Novembre > Décembre 2020

RETROSPECTIVE Chris DAZE Ellis : 40 ANS DE CRÉATION

Exposition rétrospective Chris DAZE Ellis. Exposition virtuelle en raison des règles sanitaires en vigueur. « Une exposition originale par son format, unique par le nombre d’œuvres présentées et historique par ce parcours, reflet de 40 années de création. Une découverte visuelle et un voyage dans l’univers de DAZE, de la ville de New-York, sa muse, à ses sources d’inspiration et influences. Nous sommes ravis d’avoir l’opportunité de présenter cette exposition. Malgré la situation actuelle, nous avons décidé de maintenir cette exposition pour continuer à promouvoir ce mouvement et ces artistes de légende. Celle-ci va donc prendre la forme d’une exposition virtuelle avec des photos des œuvres en situation, des vidéos de l’exposition et un catalogue digital des œuvres exposées pour offrir une immersion nouvelle dans l’univers de DAZE.» « J’ai toujours essayé de trouver dans mon travail l’équilibre parfait entre expression et représentation, abstraction et réalisme. J’essaie d’approfondir cet équilibre en créant des œuvres qui transmettent une pensée et une conviction profondes, tout en restant spontanées et gestuelles ». DAZE
Marseille
Juin > Juillet 2019

RETROSPECTIVE Anthony AONE Clark

AONE, admiré, respecté et reconnu comme un artiste majeur du mouvement graffiti, a joué un rôle clé dans l’expansion de cette culture bien au-delà des frontières du South Bronx. Son travail se distingue par sa dimension sauvage, philosophique, mystique et spirituelle, qui donne une profondeur et une résonance au graffiti, autrefois perçu uniquement comme un acte de rébellion ou de marquage de territoire. Né dans le ghetto, AONE s’est formé dans les rues et le métro de New York, autodidacte pur qui a trouvé sa voix dans les espaces bruts et libres du paysage urbain. De ces débuts modestes, il est parvenu à conquérir le monde de l’art avec une vision singulière. L’art de AONE va bien au-delà des couleurs vives et des designs percutants ; il représente une forme d’expression mêlant la vie de la rue à une quête de sens plus profonde. Ses œuvres révèlent souvent des voyages spirituels, des réflexions philosophiques et des mystères de l’univers,
le démarquant de ses contemporains et amenant le graffiti dans de nouveaux territoires introspectifs. L’art de AONE communique un message unique, abordant des questions existentielles et des vérités universelles tout en restant ancré dans l’énergie vibrante et chaotique des rues. Son influence a traversé les continents, notamment grâce à ses collaborations avec d’autres figures marquantes du graffiti. Ensemble, ils ont contribué à redéfinir le graffiti, le transformant en une forme d’art reconnue qui a trouvé sa place dans les galeries et musées du monde entier. L’héritage d’AONE est marqué par le courage, l’originalité et une quête inlassable de l’intersection entre l’art, l’esprit et l’expérience urbaine. À travers son travail, il a inspiré d’innombrables artistes et laissé une empreinte indélébile dans le monde de l’art urbain, le transformant en un médium capable de transmettre des messages profonds et intemporels.

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